On aborde généralement les sciences comme des savoirs tout faits, plus ou moins complets, plus ou moins vulgarisés. Qui a eu l’occasion de les approcher par le biais de leur histoire sait quelle satisfaction s’y peut trouver, complémentaire de celle que procure l’abord direct. L’histoire des sciences est une composante parmi d’autres de celle de l’humanité, et de celle de l’Europe tout particulièrement. En tant que branche de l’histoire des idées, et non des moindres, elle contribue à la culture scientifique, part éminente de la culture moderne. (4e de couv.)